Mangas érotiques : notre sélection des meilleurs Hentai
Bonjour les amis.
Une fois n’est pas coutume, aujourd’hui nous allons nous éloigner un peu de notre sujet de prédilection : la séduction.
Oh, ne vous inquiétez pas trop quand même, vous allez retrouver dans cet article quelques ingrédients qui, j’en suis sûr, ne manqueront pas de retenir votre attention…
Au rang de ceux-ci, il y aura des filles, d’abord.
Plutôt jolies, en plus, ce qui ne gâche rien.
Avouez que déjà, ça ne vous laisse pas indifférents…
Ensuite, bien sûr, on va pimenter ça d’une bonne dose de sexe.
Ah, là, je vous sens franchement intéressés.
Et pour finir, on va aussi y rajouter… des tentacules bien baveux que nos amis japonais aiment tant à mêler à ces scènes qu’ils imaginent pour notre plus grand plaisir pervers.
Pervers… le mot est lâché.
Justement en japonais, pervers se dit Hentai.
Pour ceux d’entre vous pour lesquels ce terme ne renvoie pas immédiatement à l’association filles nues en train de gémir au milieu de monstres gluants avec des formes phalliques un peu partout, je précise que le genre Hentai n’est pas exactement synonyme de manga érotique.
Le hentai est un genre. C’est une forme de pornographie dessinée qui comprend, bien sûr certains mangas, mais aussi d’autres genres comme l’anime, par exemple.
Or, notre sujet ayant pour titre les meilleurs mangas érotiques, nous ratisserons donc dans une catégorie plus restreinte, celle des mangas à proprement parler.
Certaines des œuvres que je vais vous faire (re)découvrir n’appartiendront pas au genre hentai.
En effet, j’ai volontairement choisi de sélectionner des mangas que l’on pourrait qualifier de pornographiques purs et durs, mais aussi quelques autres beaucoup plus soft qui contiennent aussi une bonne dose d’humour.
1) Stairway to heaven (tengoku Heno kaidan) de Makoto Kobayashi
Chiya Minakami, l’héroïne principale de l’histoire, est une femme médecin de 92 ans.
Attendez, ne partez pas tout de suite en courant…
La suite va se révéler beaucoup plus intéressante, je vous le promets…
Notre Chiya a accompli pendant sa vie toute une série de bonnes actions et peut donc légitimement espérer que les portes du paradis lui seront ouvertes une fois son existence terrestre arrivée à son terme.
Justement, son temps parmi les vivants touche à sa fin puisqu’elle décède brusquement dès le début de l’aventure.
Ce qui n’était pas prévu dans son cas, c’est que si Chiya a bien aimé quelques hommes pendant ces 90 et quelques années sur terre, elle n’a cependant jamais eu de relations sexuelles avec aucun d’entre-eux.
Et il se fait que ce paradis tant convoité se refuse dès lors à elle puisque l’une des règles pour pouvoir y entrer en tant que femme est justement d’avoir perdu sa virginité…
Mais la situation de Chiya minakami n’en est pas désespérée pour autant, puisque Dieu, dans son immense sagesse, a prévu pour les cas de ce genre une séance de rattrapage.
Pour se racheter de cette « faute », Chiya est donc envoyée pour un petit séjour au Chichon Manchi, aussi appelé l’Enfer du plaisir ;
Sur place, elle aura l’occasion de se voir présenter toutes les perversions sexuelles imaginable et, cerise sur le gâteau, elle retrouvera le temps de cette « épreuve » l’apparence physique qui était la sienne quand elle fût la plus désirable, c’est-à-dire aux environs de ses 20 ans.
Ce n’est donc pas une nonagénaire fatiguée qui arpentera l’Enfer du plaisir mais bien une jeune femme particulièrement attirante.
Ouf…
2) Ogenki clinic (Ogenki kurinikku) de Haruka Inui
Manga hentai qui sait rester drôle et divertissant, ogenki clinic met en scène le professeur Sawaru Ogekuri et sa délicieuse assistante Ruko Tatase.
Le théâtre a pour scène la clinique administrée par nos deux protagonistes principaux qui y reçoivent des patients venus des quatre coins du pays pour y soigner des affections telles que la frigidité, l’éjaculation précoce et d’autres maux du même ordre.
Il va sans dire que si cette clinique attire tant de personnes souffrantes, c’est que le traitement qui y est proposé s’apparente plutôt à une thérapie de choc…
Ici, on soigne les problèmes sexuels par le sexe avant tout et on n’y va pas de main morte quand il s’agit d’explorer les pistes les plus vicieuses et perverses pour entamer le processus de guérison.
La fin justifie les moyens…
3) La blue Girl (Injuu gakuen) de Toshio Maeda
Vous êtes fans de tentacules visqueuses ? J’ai ce qu’il vous faut avec cette œuvre.
Miko Mido, une étudiante, est initiée par sa grand-mère aux arts martiaux sexuels.
En effet, elle n’est autre que l’héritière du clan des Miroku, des ninjas opposés depuis des temps immémoriaux aux Suzuka.
Les deux lignées sont rivales depuis des siècles et tentent chacunes de s’approprier le pouvoir des démons Shikimas, des êtres qui ont pour principale activité de pratiquer des sévices sexuels en tout genre.
Voilà qui est de nature à vous mettre l’eau à la bouche, pas vrai ?
À l’époque de Miko, qui nous est contemporaine, les Suzuka ont à nouveau pris le dessus sur les Miroku en s’emparant d’une boîte grâce à laquelle ils peuvent envoyer les démons Shikimas à l’assaut de n’importe quelle personne.
De ce fait, Miko subit leurs assauts et devra faire preuve de toutes ses connaissances en arts martiaux sexuels pour contrer leurs attaques les plus vicieuses…
Au final, la Blue girl est un manga qui contient de nombreuses scènes érotiques, mais aussi une bonne dose de violence, d’horreur et même d’humour que vous serez en mesure d’apprécier si vous aimez tout ce qui touche au burlesque.
4) Angel (shin Angel) de U-jin
À l’origine d’Angel, on retrouve un manga purement romantique intitulé Kimagure orange Road écrit par Izumi Matsumoto dans les années 1980.
En partant de cette histoire d’un adolescent plus ou moins amoureux de deux jeunes filles qui sont par ailleurs d’excellentes amies, U-jin nous livre une parodie de ce récit originel.
Dans Angel, le jeune Shizuka Himenogi revient dans sa ville natale de Kunitaci, dans la province de Tokyo, après une absence de plus de dix ans.
Ce retour aux sources s’explique par son envie de retrouver Kosuke Atami, son amour d’enfance.
Mais, les deux personnages ont bien changé après toutes ces années et Shizuka est devenu une espèce de trouillard obsédé par le sexe tandis que Kosuke, pour sa part, s’est transformée en une bagarreuse des plus aguerries.
Voilà qui promet des retrouvailles un tantinet explosives.
5) Peach ! De U-jin
Saito a 25 ans. Puceau, il ne rêve cependant que d’une chose : quitter cet état au plus vite et se déniaiser dès que l’occasion se présentera à lui.
Pour forcer son destin, il essaie de faire des rencontres en utilisant son portable.
Malheureusement pour lui, ses tentatives sont toujours restées infructueuses jusqu’ici.
Quand un beau jour son horoscope lui prédit qu’il va bientôt rencontrer des filles, l’espoir renaît pour Saito.
D’ailleurs, la prédiction ne tarde guère à se réaliser puisqu’il rencontre une jeune femme qui prétend être follement amoureuse de lui. Au même moment, il se voit proposer un emploi de professeur d’anglais au sein d’un établissement dans lequel les élèves sont des filles toutes plus belles les unes que les autres.
Saito, qui ne perd pas le nord, comprend vite qu’il pourrait tirer avantage de cette nouvelle situation…
Eh bien voilà, les amis, notre petite sélection du jour s’achève sur cette introduction prometteuse à la fois sur le plan érotique mais aussi sur celui de l’humour que j’ai essayé de privilégier lui aussi au travers de mon choix.
À bientôt pour de nouveaux articles et d’ici là, bonne lecture !