Dossier Sodomie
La sodomie, ou sexe anal, semble être une pratique sexuelle de plus en plus exercée et appréciée chez les couples hétérosexuels depuis ces dernières années.
Il peut y avoir plusieurs raisons à cela :
1) Beaucoup d’hommes et femmes prennent du plaisir lors de la pénétration anale.
Parfois autant, sinon PLUS !
Quelques femmes peuvent même ressentir de puissants orgasmes de cette manière-ci, malgré le fait que l’anus n’ait probablement pas été biologiquement prévu pour…
Certaines théories scientifiques justifient cela par une éventuelle connexion entre la stimulation anale et le réseau nerveux clitoridien.
Pourrait-on donc donner un orgasme du clitoris par stimulation anale ?
Apparemment oui… Mais cela reste encore à prouver.
Quoi qu’il en soit, on peut donner du plaisir aux femmes par stimulation anale, et même parfois BEAUCOUP !
C’est aussi plaisant pour l’homme, car cet orifice a des spécificités différentes du vagin. Souvent plus rétracté, il permet d’éprouver des sensations différentes que certains hommes peuvent préférer.
Pour être honnête, je ne fais pas partie de cette catégorie. Pour moi le sexe anal est une simple « option » (comme plein d’autres). Mais comme on dit, « tous les goûts sont dans la nature ». J’arrive parfaitement à concevoir que certains hommes puissent éprouver de meilleures sensations ainsi.
Cela dépend ans doute aussi en partie de notre partenaire.
2. Ce n’est pas seulement la stimulation « physique » d’une partie différente du corps.
La sodomie, c’est aussi (et surtout) une pratique qui établit une dominance symbolique de l’homme sur la femme. Ce qui, durant l’acte sexuel, peut être très excitant.
Le plaisir sexuel n’est pas seulement une question de « stimulation physique ».
C’est une question de stimulation physique ET émotionnelle !
Quand notre objectif est de donner du plaisir sexuel à une femme, de lui faire apprécier l’expérience avec nous, on ne doit jamais lui faire l’amour amour uniquement physiquement, mais aussi mentalement.
Comme de nombreuses femmes se sentent « stimulées » et éprouvent beaucoup d’excitation sexuelle en étant soumise à leur partenaire durant l’acte, la sodomie peut s’avérer une excellente pratique pour exercer cette domination !
3. La sodomie est aussi une pratique transgressive (donc par essence plus excitante).
De plus, même si de nombreux couples la pratiquent aujourd’hui, et qu’elle ne devrait plus tout à fait être considérée comme « transgressive » en soi, la sodomie garde l’étiquette d’une pratique « libertine ».
On éprouve souvent un sentiment de débauche sexuelle en exerçant la sodomie, grâce à la sensation de tabou associée cette pratique. Et c’est un facteur d’excitation supplémentaire !
Cela nous éloigne du sexe « traditionnel », ce qui rend l’acte plus jouissif.
Plus que la stimulation physique en soi, c’est souvent aussi la stimulation « émotionnelle », autrement dit l’excitation éprouvée durant l’acte, que les gens recherchent à travers cette pratique. C’est aussi ce qui, pour certains, en fait sa particularité. Ils se sentent plus excités grâce à la sodomie et arrivent donc plus facilement à l’orgasme.
Sommaire
Une pratique qui demande des précautions
La sodomie ne doit cependant jamais être prise à la légère.
C’est certainement la pratique sexuelle la plus dangereuse.
- D’abord parce que vous pouvez blesser votre partenaire.
Bien plus que la pénétration vaginale, elle nécessite une grande préparation en amont.
Si vous essayez de pénétrer votre partenaire trop vite, sans la préparer au préalable, et notamment sans faire l’effort de décontracter ses muscles du sphincter (nous verrons cela plus tard), vous pouvez lui faire très mal.
Aussi, vous ne devez surtout pas lésiner sur la lubrification.
Contrairement au vagin, l’anus ne se lubrifie pas naturellement. Si vous n’êtes pas suffisamment lubrifié pour glisser facilement à l’intérieur, vous risquez de lui faire mal et même de blesser votre partenaire, voire de lui occasionner des lésions et des déchirures à l’intérieur du rectum.
Enfin et surtout, vous devez prendre des précautions parce que le sexe anal augmente considérablement les risques de maladies sexuellement transmissibles.
Comme les tissus cutanés qui se trouvent à l’intérieur du rectum sont relativement fins, le sexe anal provoque (même avec lubrification) souvent des micro-déchirures, beaucoup plus que lors d’une pénétration vaginale.
Bien qu’elles soient souvent trop superficielles pour réellement « blesser » et causer des douleurs à votre partenaire, elles sont cependant une porte ouverte aux virus et bactéries, qui peuvent facilement entrer dans le flux sanguin de la femme (si l’homme est porteur d’une MST), ou dans l’urètre de l’homme (si c’est la femme qui est infectée).
A noter qu’il y a aussi plus de risques, à cause du fait que l’anus ne se lubrifie pas, que le préservatif craque !
Pour toutes ces raisons, et quelques autres moins importantes, il est nécessaire de prendre de nombreuses précautions avant de la pratiquer !
- Toujours porter un préservatif: c’est un MUST. Vous prenez encore plus de risques en ayant ce genre de rapport sexuel tout en étant non-protégé. La seule raison pour laquelle vous pourriez éventuellement vous en passer, c’est dans le cas où vous faites à 100% confiance à votre partenaire.
- Toujours préparer correctement votre partenaire à la pénétration.
- Toujours lubrifier votre pénis (ou plutôt le préservatif qui le recouvre), et l’anus de votre partenaire.
Avant de commencer : un mot sur l’hygiène
Disons-le d’emblée : l’anus a une autre fonction que d’être pénétré. Il doit donc être bien nettoyé pour être prêt à l’emploi.
Ok, ce n’est pas un sujet vraiment charmant, mais il reste important.
Le sexe anal ne s’improvise pas ! Le strict minimum est que votre partenaire soit propre.
D’ailleurs, comme les femmes ont en général un sens de l’hygiène et de la propreté extrêmement minutieux, elles refuseront probablement de vous laisser prendre la porte de derrière si elles ne sont pas certaines d’être propres.
Même pour du sexe conventionnel, chaque fois que je m’apprête à faire l’amour à une femme « spontanément » pour la première fois après un rendez-vous réussi, elle me demande « où sont les toilettes ? », et y passe une bonne dizaine de minutes.
Pendant un temps, je me posais la question du pourquoi avant que je ne devine que c’était pour s’assurer d’avoir les parties intimes propres.
Même si elles ont prévu l’éventualité qu’il y ait un rapport sexuel entre elles et vous après un rendez-vous et qu’elles se sont préparées (lavée, rasée, etc.) au cas où, les femmes vont souvent aux toilettes avant pour s’assurer, une dernière fois, de leur hygiène.
Si votre partenaire n’est pas sûre d’être hygiéniquement prête, elle risque d’avoir un blocage mental.
Dans l’idéal, elle devrait faire un lavement. Cela lui enlèverait d’une part tous les doutes concernant la propreté de sa voie rectale, et éviterait aussi d’éventuelles « mauvaises surprises ».
Elle peut utiliser une poire à lavement pour cela.
Mes connaissances sur le sujet sont légèrement limitées, mais je sais qu’il y a aussi possibilité d’avoir recours à des lavements « chimiques », avec des suppositoires.
Si votre partenaire n’est pas encore expérimentée en matière de sodomie et que vous souhaitez l’initier, vous devriez lui en parler. La communication est importante pour ce genre de choses. Il y a d’ailleurs beaucoup de femmes qui hésitent à franchir le pas principalement par peur de ne pas être « propre » et de finir par en avoir honte. Cela pourrait beaucoup l’aider de se sentir psychologiquement prête.
Une bonne astuce en plus est de lui laisser prendre un bain chaud avant le sexe. Cela lui permet de se nettoyer avant la pratique, mais aussi de détendre ses sphincters, ce qui rend la pénétration beaucoup plus facile et agréable.
Enfin, pour d’autres raisons hygiéniques, il est recommandé de changer de préservatif si vous poursuivez le rapport sexuel par une pénétration vaginale.
De même, si vous introduisez quelque chose dans son anus – votre doigt ou un sextoy – ne l’introduisez pas directement dans son vagin ensuite. Lavez-le correctement avant.
La préparation
La préparation est probablement la clé d’une sodomie réussie.
La raison pour laquelle votre partenaire peut ressentir du plaisir ou avoir mal durant la sodomie est plus mentale que physique, bien qu’on puisse également l’expliquer par la seconde raison.
L’entrée de l’anus est matérialisée par deux muscles : les sphincters externes et internes. Ensuite, l’intérieur de l’anus est en général sensible aux stimulations, si toutefois vous avez pris les précautions nécessaires pour bien le lubrifier (sinon cela peut être douloureux).
Bien souvent, c’est la faculté qu’a votre partenaire à détendre ses muscles sphinctériens qui fait la différence. C’est ici que le mental entre en jeu.
La capacité qu’a votre partenaire à détendre ou non ses muscles est principalement mentale.
Par exemple, si elle anticipe la douleur à cause d’un tas d’idées reçues sur cette pratique sexuelle, il peut être très difficile pour elle de réussir à décontracter ses muscles. Si elle n’a pas assez d’expérience, cela peut être « physiquement » très difficile pour elle de lâcher prise et d’être suffisamment détendue.
Surtout si votre partenaire est novice, il est important que vous réussissiez à la rassurer pour qu’elle se détende.
Je vous recommande vivement de lui faire d’abord l’amour « normalement ».
Prenez tout votre temps pour bien l’exciter (l’excitation aide à lâcher prise plus facilement), en commençant par de bons préliminaires, du sexe oral, et la pénétration vaginale.
L’excitation et le plaisir qu’elle ressentira avant la sodomie aidera à faire disparaître son anxiété, à faire en sorte qu’elle se détende plus facilement et qu’elle se sente finalement davantage dans le « feu de l’action ». Cela sera d’autant plus vrai si vous l’amenez à l’orgasme.
Dilater l’anus de sa partenaire
En plus de l’aider à se détendre, une autre chose indispensable à faire pour préparer votre partenaire à la pénétration est de dilater, physiquement, au fur à mesure son anus avant de commencer la pénétration.
Vous pouvez utiliser votre doigt ou un sex-toy pour cela.
Par exemple, pendant que vous êtes en train de lui faire un cunnilingus, vous pouvez commencer à lui insérer en même temps votre doigt dans l’anus et faire des va et vient avec.
Cela vous permet de commencer à dilater ses sphincters afin qu’elle soit plus à l’aise ensuite pour une pénétration plus importante.
Pendant que vous lui faites l’amour, si vous êtes dans une position comme la levrette (qui peut faire une excellente transition entre la pénétration vaginale et anale) par exemple, vous pouvez également lui insérer un doigt (l’index ou le pouce), ou un sex-toy.
Les sex-toys ne sont pas indispensables. Cependant, ils peuvent être très pratiques, notamment si votre partenaire appréhende ce qui va se produire et se sent nerveuse.
Si possible, utilisez un sex-toy prévu à cet effet, comme un plug anal ou un chapelet thaï.
Lubrification
Pas de sexe anal sans lubrifiant ! C’est la règle la plus importante.
C’est tout simplement essentiel pour rendre la pénétration un minimum agréable (car l’anus ne se lubrifie pas naturellement), et éviter au maximum les risques de faire mal à votre partenaire, ce qui serait le meilleur moyen d’avorter la partie de plaisir que vous aviez prévu d’avoir ensemble.
Vous devez utiliser du lubrifiant en abondance à chaque fois lorsque vous insérez un doigt, un jouet ou votre sexe.
L’entrée
Lorsque vous décidez finalement de pénétrer votre partenaire avec votre pénis, n’hésitez pas à mettre une bonne quantité de lubrifiant.
Lubrifiez votre sexe, mais également l’entrée de son anus, ainsi que l’intérieur proprement dit.
Mieux vaut trop que pas assez !
Ensuite, insérez lentement et aussi délicatement que possible votre pénis.
Une fois entré, faites de lents va-et-vient au début, le temps que votre partenaire s’y habitue. Si elle manque de pratique, les quelques premières minutes pourraient être légèrement inconfortables pour elle.
Prêtez attention aux sensations qu’elle éprouve :
- Si vous sentez que vous lui faites mal, ralentissez au minimum. Mieux encore, laissez-lui faire les va-et-vient elle-même en bougeant son corps.
- Si cela continue à être trop désagréable pour elle, n’insistez pas et ressortez. C’est probablement que vous n’avez pas passé assez de temps à l’aider à se détendre et dilater ses sphincters.
Soyez patient, votre partenaire s’habituera aux stimuli après quelques minutes. Elle se sentira aussi plus détendue/rassurée au fur et à mesure. Vous pourrez alors continuer la pénétration à une allure plus rapide, intensifier la stimulation à votre guise, et commencer à réellement prendre du plaisir avec elle.
Il est aussi à noter que plus votre partenaire pratiquera la sodomie, plus il deviendra facile pour elle de se détendre, et plus vite elle appréciera la stimulation.
Même si les principes que nous avons vus (bien lubrifier, préparer sa partenaire à la pénétration, entrer lentement et calmement) restent valables, vous aurez besoin de beaucoup moins de temps pour rendre votre partenaire prête.
Plan d’action
Pour résumer les informations que nous venons de voir dans cet article, et les rendre plus « pratiques », voici un plan d’action à suivre :
- Préparez des préservatifs (plusieurs au cas où) et du lubrifiant avant.
- Demandez à votre partenaire de bien se laver, d’utiliser si possible une poire, et – en bonus – prenez un bain chaud ensemble (en guise de préliminaire et pour détendre ses sphincters)
- Commencez l’acte sexuel « normalement », c’est-à-dire par des préliminaires classiques, une pénétration vaginale, etc. Si possible, amenez votre partenaire à l’orgasme une première fois. C’est un grand plus (les femmes se sentent naturellement dans un état plus détendu après l’orgasme).
- Préparez-la à la pénétration pendant l’acte sexuel classique et commencez à dilater son anus en lui insérant un doigt et/ou un sex-toy.
- Prenez une position sexuelle propice pour commencer le sexe anal. Evidez d’en choisissez-en donc une qui ne soit pas trop compliquée ou acrobatique, et grâce à laquelle vous pouvez entrer votre pénis le plus délicatement et facilement possible. En théorie, cette position devrait être la « levrette », ou une variante.
- Lubrifiez comme il faut votre pénis (protégé par un préservatif), son anus et l’intérieur de celui-ci pouvoir y entrer aussi facilement que possible sans avoir à en forcer l’entrée (ce qui rendra les débuts de la pénétration moins douloureux/plus agréables pour elle)
- Commencez lentement ! Prenez autant de temps que nécessaire pour que votre partenaire s’habitue à la stimulation.
- Intensifiez la stimulation au fur et à mesure jusqu’à atteindre le rythme de votre convenance.
- Faites-lui l’amour de la même manière que lors d’une pénétration « classique » : vous pouvez utiliser du « sex talk », de la violence érotique (lui donner des fessées, lui tirer les cheveux, la mordiller, etc.), malaxer ses seins, caresser son clitoris, etc.
- Soyez particulièrement attentif à ses réactions, et lubrifiez à nouveau si besoin, ceci tout au long de l’acte sexuel.
Les positions appropriées
Quand on pratique la sodomie, il peut être intéressant d’essayer plusieurs postions différentes, d’ailleurs le Kama Sutra propose aussi de nombreuses positions qui peuvent être utilisés pour du sexe anal.
Voici une liste de 6 positions (et plus!) particulièrement adaptées à cette pratique :
1) La levrette et ses variantes.
Comme je l’ai évoqué précédemment, la levrette est la position par excellence et « par défaut » de la sodomie.
C’est notamment celle qui permet peut-être d’initier le plus facilement possible la pénétration et d’habituer votre partenaire aux stimuli.
Cette position, ainsi que toutes les variantes que l’on peut y trouver comme l’Epicurien, le « Tigre pénétrant », les « montagnes magiques », etc., sont très bonnes pour la sodomie.
2) Le Bateau ivre et ses variantes
Le « bateau ivre » est une autre position sexuelle qui peut s’avérer très intéressante.
En poussant les jambes de votre partenaire allongée sur le dos, vous pouvez suffisamment courber son bassin pour avoir accès à son anus.
L’avantage de cette position, c’est que votre partenaire peut davantage se détendre en restant allongée plutôt que de rester à « quatre pattes » comme lors de la levrette.
A l’instar de la levrette, les variantes de cette position sont également très bonnes, et vous en avez des tas, dont certaines peuvent être assez acrobatiques et amusantes à essayer.
3) La cuillère et ses variantes
La cuillère est une autre très bonne position pour pratiquer la sodomie.
Du fait que vous êtes tous les deux allongés sur le côté, cette position est plus relaxante et peut de ce fait apporter une touche de douceur et de passion dans l’acte sexuel.
Et comme vos deux corps sont très proches, vous pouvez caresser votre partenaire et l’embrasser dans le cou et sur les épaules en même temps.
Une position notamment idéale pour le sexe du matin, quand vous n’êtes pas tout à fait éveillé ni l’un ni l’autre…
4) L’Andromaque, l’Amazone, et leurs variantes
La position d’Andromaque, ainsi que celle de l’Amazone, et toutes leurs variantes, peuvent aussi être très bonnes pour la sodomie.
Elles autorisent notamment votre partenaire à être plus participative dans l’acte sexuel et à choisir elle-même le rythme et l’intensité de la pénétration.
Un autre avantage est que vous pouvez facilement caresser les fesses et la poitrine de votre partenaire, échanger des regards avec elle et la contempler.
Cela permet de faire grimper l’excitation !
5) La cavalière et ses variantes.
Certains hommes sont plus excités par la vue des fesses de leur partenaire.
Si tel est votre cas, vous pouvez préférer la cavalière, qui est une autre position très valable pour la sodomie.
Elle offre les avantages de l’Andromaque, sauf que votre partenaire vous tourne le dos. Cela permet de changer l’angle de stimulation, ainsi que l’angle de vue.
6) La posture de l’éléphant et ses variantes
La posture de l’éléphant est une autre position que pouvez prendre lors du sexe anal.
A l’instar de la levrette, cette position vous permet d’être derrière votre partenaire, ce qui vous met dans une position dominante et primitive. Seulement, votre partenaire est couchée, les jambes entre les vôtres, ce qui rend à la fois la pénétration plus délicate tout en vous permettant d’avoir plus facilement accès au haut de son corps et de reposer davantage votre poids sur elle ainsi que de vous aider de la gravité pour la pénétrer.
Avec ces 6 positions et leurs variantes, vous pouvez donner beaucoup de plaisir à votre partenaire durant le sexe anal !
Conclusion
Il est toujours excitant de pouvoir découvrir de nouvelles choses, explorer de nouveaux horizons et au final de varier les plaisirs.
La sodomie peut être parfaite pour cela et risque de vous surprendre vous et votre partenaire si vous n’y êtes pas encore initié.
Cependant, elle demande, comme nous l’avons vu au long de cet article, beaucoup de prudence et de précaution, aussi bien pour éviter les maladies sexuellement transmissibles que pour la rendre agréable pour votre partenaire.
Vous devez garder cela à l’esprit.